vendredi 29 août 2008

l'hiver au soleil (première partie)

La fée des arcs-en-ciels.

De retour sur ce blog, après une longue longue absence.

Mais que s'est il donc passé ces derniers mois ? Qu'ai je fait de ma vie de bohème ?
Voyons quand est-ce que je vous avais laissé déjà ?
C'est ça, avril, ça fait un temps, mais oh mais non, je n'ai rien oublié (comme chante si bien Aznavour).
Je vais essayer de faire court quand même (pour les versions longues contactez moi).

Mes derniers jours de travail à São Paulo je m'étais efforcé de faire comprendre à tout le monde que la situation ne me convenais pas, et j'ai proposé moi même une nouvelle ligne de travail qui a éte accepté.
Je raconterais ça plus en détail dans un autre post, je ne suis pas là pour vous raconter les détails de mon travail. Je vais parler plus des aspects humains. Globalement c'est plus axé recherche appliqué et l' on m'occtroie du coup plus de liberté. Mais sincèrement, je penses que mon titre de docteur aide à ma crédibilité, plus que la motivation que j'ai essayé de montrer car je n'ai pas trouvé d'enthousiasme suffisant pour me soutenir dans ma démarche.
Bon c'est assez regretable à dire mais bien que ce que je développe devrais être utile à l'entreprise je sens ça plus comme un projet personnel qui me permettrait de me vendre à mon prochain employeur (entreprise ou université), mais je compte tout de même aller au bout de ce projet avant de changer d'horizon.
Enfin si l'on me le permet ici, car bien que ma bourse a été renouvelée elle n'est prolongé pour l'instant que jusqu'à fin décembre ...

Donc je m'étais mis à travailler sur mon projet, et puis ma petite soeur me téléphona fin avril pour dire que les billets d'avions étaient vraiment bon marché en mai et qu'elle était tenté d'en proffiter. Et comme "en mai fait ce qu'il te plait", ... J'ai posé 3 semaines de vacances, un peu hésitant, mais finalement sans que ça pose de problème à personne.
Et je voulais emmenez ma soeur partout courrir à travers tout le brésil moi découvrir encore, et partager dans les 3 semaines ce que j'avais mis un an à vivre ...
Mais ce n'est pas si facile de vivre au quotidien de manière si proche avec quelqu'un que l'on veut aimer de par les liens du sang et que en réalité on connait si peu.
Mais après des efforts de chacun, et sans faire semblant, je suis heureux de constater que l'on a réussi.



Clope tranquille le soir à la fenêtre, (nove de Julho, São Paulo) ...


Voilà, j'avais pas envie spécialement de raconter seulement tout ce qu'on a vu à Rio de Janeiro, São Paulo, Salvador, Mauro, Curitiba ou Foz de Iguaçu ce serait trop superficiel, et c'est plus de ce que je n'aurrais pas pu prendre en photo que j'ai envie de garder souvenir.
Rassurez-vous voici tout de même quelques photos commentées afin d'illustrer un peu plus ce blog et de faire une pause dans votre lecture.



Shhh, chuttes, mais parle plus fort.


Joli morceau n'est-ce pas ? (Les filles ! Je parle du baby-beef pas du serveur argentin).




Attention, le baisé de cette demoiselle pourrait être fatal pour ce malheureux serpent intrépide.


Soirée Salsa de Fête d'anniversaire et d'au revoir (São Paulo),

Et y avais même le Gâteau les invités et les fleurs ...

Petit détail de cette soirée, pour ceux qui aiment les télénovelas (ou la psychologie).
On a cru bien faire en me présentant à une charmante demoiselle instruite, qui n'aurrait pas plus mal joué son rôle si on l'avait engagé pour me séduire afin de détourner mon attention ou qu'on venait nous souffler nos textes. Alors que j'étais déjà réticent à un rapprochement pour cause de voyage imminent, et malgré que tout le monde n'avait pu s'empêcher de souligner ses charmes qui ne m'avaient pourtant pas échapés, malgré les regards flatteurs en nous voyant cote à cote, malgré le cliché amusant, et au risque d'être imcompris de certains, mon choix n'eu pas été trop difficile à faire pour garder mon intégrité, il m'eut suffit d'une petite discution pour me désinteresser. C'est pas de ma faute si je suis assez hermétique au manque de liberté de pensée quelque soit le courant. Et si en plus elle danse pas :)

Bientôt dans la deuxième partie :
mes 30 ans à Salvador.