de http://www.studyrama.be/spip.php?article1104 :
Au Brésil, il existe un énorme paradoxe en ce qui concerne l’accès à l’enseignement supérieur. Les élèves des familles de la classe sociale aisée, sortis d’établissements secondaires privés (où l’enseignement est plus complet), occupent en majorité les bancs des universités publiques. Des universités dont les frais d’inscriptions sont gratuits, d’où un examen d’entrée extrêmement difficile et un nombre de places limité !
La conséquence de ce déséquilibre est que les jeunes issus de classes sociales défavorisées, sortis d’établissements secondaires publics, n’ont plus que la possibilité de poursuivre leur études dans les universités privées, où les frais d’inscriptions sont très élevé (environ 5 000 €)
C'est vrai.
jeudi 26 mars 2009
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